Monday, June 12, 2006

FB goes to hollywood

FB, je te dédie ces quelques notes. Merci pour la tendresse de tes gestes, la beauté de ton sourire et la poésie de tes lagons...serre-moi...serre-moi...

Embrasse-moi dessus bord
Viens mon ange, retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps,
Pourrais-je dépunaiser tes ailes?
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir et tout faire
ô tout, pour te voir partir et viens!
Emmène-moi là-bas
Donne-moi la main
Que je ne la prenne pas
Ecorche mes ailes
Envole-moi
Et laisse-toi tranquille à la fois
Mille fois entrelassons-nous
Et lassons-nous même en-dessous
Serre-moi serre-moi
Jusqu'à étouffer de toi


Il y a des salauds
Qui pillent le coeur des femmes
Et des femmes qui ne savent plus trop
D'où l'amour tire son charme
Papillon de fleur en fleur
D'amour en amour de coeur
Ceux qui n'ont qu'une étoile
Ou ceux qui brûlent leurs voiles
J'aime tes larmes quand tu aimes
Ta sueur, le sang, rendons-nous amants
Qui se passionne, qui se saigne
J'aime quand mon écorché est vivant
Je ne donne pas long feu
A nos tragédies, nos adieux
Reviens-moi, reviens-moi
Tu partiras mieux comme ça
A force de se tordre,
On en finirait par se mordre
A quoi bon se reconstruire,
Quand on est adepte du pire
Malgré nous, malgré nous,
A quoi bon se sentir plus grand
Que nos, deux grains de folie dans le vent
Deux âmes brûlantes, deux enfants
Il y a des salauds
Qui pillent le coeur des femmes
Et des femmes qui ne savent plus trop
D'où l'amour tire son charme
Papillon de fleur en fleur
D'amour en amour de coeur
Ceux qui n'ont qu'une étoile
Ou ceux qui brûlent leurs voiles
Embrasse-moi dessus bord
Viens mon ange, retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps,
Pourrais-je dépunaiser tes ailes?
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir et tout faire
ô tout, pour te voir partir et viens!
Emmène-moi là-bas
Donne-moi la main
Que je ne la prenne pas
Ecorche mes ailes
Envole-moi
Et laisse-toi tranquille à la fois
Mille fois entrelassons-nous
Et lassons-nous même en-dessous
Serre-moi serre-moi
Jusqu'à étouffer de toi
Serre-moi encore, serre-moi...

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